PDF :
i-Parapheur : documentation d'installation sous ubuntu server (621 téléchargements )
Sources :
i-Parapheur : fichier WAR et AMP (173 téléchargements )
Ce document vise à fournir un fil conducteur pour l’installation de l’application i-Parapheur. C’est un guide d’installation-type, à destination de techniciens expérimentés, à suivre et adapter selon l’environnement d’exploitation (système d’exploitation, contraintes réseau, etc.).
Ce guide détaille l’installation sur plate-forme GNU/Linux en général, Ubuntu Server en particulier.
Quelques ressources Web ayant servi de base à cette procédure :
http://wiki.alfresco.com/wiki/Installing_Alfresco_on_Ubuntu_7.10 (du 29 avr.2008)
Table of Contents
Architecture serveur
L’installation du serveur réclame un certain nombre de pré-requis, autant de briques logicielles sur lesquelles va s’appuyer la solution i-Parapheur.
Quel que soit le système d’exploitation hôte, i-Parapheur a besoin des composants suivants :
- système d’exploitation 64bit, installé en Français, configuré avec encodage UTF-8,
- serveur de base de données MySQL 5.1 ou plus récent,
- Les polices de caractères standard de Microsoft pour aider à la production de PDFs,
- les utilitaires ‘unzip’, ‘tar’, ‘GhostScript’
- serveur Web APACHE v2.2.17 ou mieux avec les modules SSL et PROXY_AJP, et donc OpenSSL
- accès à un serveur de messagerie SMTP, optionnellement une boite aux lettres POP3
- Alfresco 3.4.c Community (qui comprend SUN Java, ImageMagick, SwfTools, OpenOffice.org)
Pré-Requis logiciels – plate-forme GNU/Linux
L’installation a été validée sur la plate-forme Ubuntu 12.04 Server LTS x64 (plate-forme supportée, et « support long terme » proposé par la société Canonical Ltd.), Debian Squeeze et supérieur.
Le parapheur électronique peut également être installé sur d’autres GNU/Linux : Fedora/ CentOS/ RedHat-ES, SUSE… sous réserve que les pré-requis logiciels soient respectés, ou sous réserve de validation par les équipes techniques de l’ADULLACT. L’installation sur serveur Microsoft™ n’est pas traitée dans ce document.
NB: Pendant l’installation, le serveur doit-être connecté sur un réseau relié à Internet afin de récupérer et installer les dernières mises-à-jour des composants logiciels disponibles.
Système opérateur – installation de Ubuntu Server
Localisation FR
Attribuer un nom de machine (pas de ‘_’ dans le nom) :
exemple : iparapheur
Sélection de logiciels: choisir OpenSSH server
Exemple de partitionnement (HD de 300Go) : / 30G swap 2G /opt200G<--- ici sera l'entrepôt /var70G<--- ici sera la Base de Données
NB : Les binaires d’installation seront déposés par convention dans /opt/_install .
Configuration du système Ubuntu, connecté à Internet
Vérifier et mettre à jour les dépôts (repository) de logiciels avec les privilèges administrateur:
$ sudo -s #root > vi /etc/apt/sources.list
Commenter en préfixant avec le caractère ‘#’ la ligne spécifiant le chemin du CD-ROM :
deb cdrom:[Ubuntu-Server 12.04 _Precise Pangolin_ - ...]/ precise main restricted
et s’assurer de la présence des dépôts universe et multiverse (normalement déjà activés):
deb http://archive.ubuntu.com/ubuntu/ precise main restricted universe multiverse
deb-src http://archive.ubuntu.com/ubuntu/ precise main restricted universe multiverse
deb http://archive.ubuntu.com/ubuntu/ precise-updates main restricted universe multiverse
deb-src http://archive.ubuntu.com/ubuntu/ precise-updates main restricted universe multiverse
deb http://archive.ubuntu.com/ubuntu/ precise-security main restricted universe multiverse
deb-src http://archive.ubuntu.com/ubuntu/ precise-security main restricted universe multiverse
(ajouter le ou les dépôts manquants et adapter le repository à votre distribution)
Debian : activer les repos ‘main’ ‘contrib’, ‘non-free’ .Pour le dépôt ‘backports’ (pour OOo) nouvelle ligne :
deb http://backports.debian.org/debian-backports/ squeeze-backports main contrib non-free apt-get install debian-backports-keyring
Mise à jour du système :
#root > apt-get update
#root > apt-get -s dist-upgrade # Simulation
#root > apt-get dist-upgrade # Mise à jour
NB: Éléments de confort (éditeur de texte, complétion) :
#root > apt-get install vim-nox # coloration syntaxique dans vi
#root > vi /etc/bash.bashrc # pour régler la complétion automatique
NB: en cas de mise à jour du kernel ( ‘linux-image….’), rebooter:
#root > reboot
Installation des pré-requis logiciels
Base de données MySQL (sauf si il existe un service externalisé) :
#root > apt-get install mysql-server
Quelques outils nécessaires :
#root > apt-get install ntp xfonts-base psmisc unzip
#root > apt-get install ghostscript gsfonts
Si RedHat/CentOS: installer composants xorg-x11-fonts-Type1 libXext
OPTION: Polices de caractères TTF standard Microsoft™ (pour la transformation de documents):
#root > apt-get install ttf-mscorefonts-installer x-ttcidfont-conf
OPTION: JAVA: installer le JDK6 depuis le site java.com de Oracle (NB : java est livré avec Alfresco) :
#root > mkdir /opt/java ; cd /opt/java ; chmod +x /opt/_install/jdk-6u43-linux-x64.bin
#root > /opt/_install/jdk-6u43-linux-x64.bin
Vérifier que cette version est bien reconnue:
#root > java -version
Sinon, régler le problème avec ‘update-alternatives’ :
#root > update-alternatives --install "/usr/bin/java" "java" "/opt/java/jdk1.6.0_43/bin/java" 1
Puis ajouter si nécessaire la ligne suivante dans /etc/profile :
export LC_ALL=fr_FR.UTF-8
Il est important de s’assurer que c’est la version Oracle/SUN de JAVA qui sera utilisée.
Installation d’un serveur de courrier électronique
Cette étape est nécessaire en l’absence d’un serveur de messagerie directement exploitable:
#root > apt-get install postfix bsd-mailx
Vérifier le nom de domaine dans /etc/mailname , puis redémarrer postfix:
#root > /etc/init.d/postfix reload
OPTION: si utilisation du ‘Email-Service’ de i-parapheur pour l’injection de formulaires, il faut installer
un serveur POP3 (voir http://doc.ubuntu-fr.org/pop pour les détails la configuration):
#root > apt-get install dovecot-common dovecot-pop3d
Éditer le fichier de configuration /etc/dovecot/dovecot.conf, et modifier les lignes:
protocols = pop3
mail_location = mbox:~/mail:INBOX=/var/mail/%u:INDEX=MEMORY
Remarque : Sur Debian , c’est le MTA exim qui est installé par défaut. Voir :
jerome.colombet.free.fr/?2010/05/28/103–debian-configurer-exim4-vers-un-relais
Installation du serveur Web Apache2
Composant logiciel nécessaire pour traiter les connexions sécurisées.
L’installation se fait avec la ligne suivante :
#root > apt-get install apache2 ca-certificates
Sur RedHat4 :
up2date -i httpd
Sur RedHat5 :
yum install httpd
Remarque pour Debian : il est possible pour Debian 5 (Lenny) ou 6 (Squeeze) de forcer l’installation d’une version plus récente pour Apache, en configurant APT (pinning de repository).
#root > apt-get install -t unstable openssl apache2
Remarque pour RedHat/CentOS : Apache est requis dans sa version la plus récente possible (v2.2.17 ou plus récent pour bénéficier de toutes les optimisations de paramétrage). Ces versions récentes ne sont pas fournies en standard par les distributions RedHat et CentOS (la version 5.x ne fournit que Apache 2.2.3 en standard!). Un contournement possible consiste à utiliser un dépôt logiciel alternatif :
Si RedHat 5.4 32bits (au 14/08/2011): la source est http://pkgs.org/centos-5-rhel-5/centalt-i386/
httpd-2.2.22-1.el5.i386.rpm
httpd-tools-2.2.22-1.el5.i386.rpm
mod_ssl-2.2.22-1.el5.i386.rpm
apr-util-ldap-1.3.9-1.el5.i386.rpm
apr-util-1.3.9-1.el5.i386.rpm
Si RedHat 5.7 64bits (au 28/03/2012, les versions peuvent évoluer) :
apr-util-1.3.9-1.el5.x86_64.rpm
apr-util-ldap-1.3.9-1.el5.x86_64.rpm
httpd-2.2.22-1.el5.x86_64.rpm
httpd-tools-2.2.22-1.el5.x86_64.rpm
mod_ssl-2.2.22-1.el5.x86_64.rpm
(installer le dernier ‘centalt-release’ depuis http://centos.alt.ru/repository/centos/5/x86_64/ )
rpm -Uvh centalt-release*rpm
yum install httpd mod_ssl
Ressources : www.howtoforge.com/perfect-server-centos-5.7-x86_64-ispconfig-3
Installation et configuration du serveur Web Apache2
Activation des modules Apache2
Visualiser les modules actifs, et ajouter au besoin SSL et proxy_AJP :
#root > ls -l /etc/apache2/mods-enabled/ # Vérifier que le mod_ssl est présent.
#root > a2enmod ssl
#root > a2enmod proxy_ajp
Sur Debian : ajouter dans /etc/apache2/ports.conf :
Listen 443
Configuration des hôtes virtuels HTTP et HTTPS
Sur une centos 4.4 ou RedHat : placer les vhost dans /etc/http/conf.d/*.conf
L’architecture impose un paramétrage fin du serveur Web, au niveau du transfert des requêtes entre le poste de travail et le serveur i-parapheur, ainsi que sur la gestion des accès par certificat.
#root > cd /etc/apache2
#root > cp /opt/_install/confs/parapheur* sites-available # (copie des modèles de vhost)
#root > a2ensite parapheur # (activation du vhost HTTP)
#root > a2ensite parapheur.ssl # (activation du vhost HTTPS)
Dans les fichiers ‘vhost’ nommés par exemple « parapheur » et « parapheur.ssl », adapter les adresses IP, email, noms FQDN du serveur (dans cet exemple : iparapheur.ma-collectivite.fr), chemin d’accès selon le contexte d’installation : respectivement les directives « VirtualHost », « ServerAdmin », « ServerName », voire « Directory » « Alias ».
Dans le répertoire /etc/apache2/ssl/ déposer le script recup_crl.sh qui téléchargera périodiquement la liste des autorités de certification reconnues par la plate-forme (dans un sous-répertoire validca):
#root > mkdir /etc/apache2/ssl; cd /etc/apache2/ssl/
#root > cp /opt/_install/confs/recup_crl.sh . ; chmod +x recup_crl.sh
#root > ./recup_crl.sh /etc/apache2/ssl
Dans le répertoire /etc/apache2/ssl/ , installer le certificat SSL du serveur web Apache (2 fichiers : un certificat X509, et une clé RSA). Celui-ci aura été acquis au préalable auprès d’une autorité de certification compétente, ou à défaut auprès d’une AC de moindre confiance (locale et auto-signée).
Une fois le certificat installé et dûment référencé dans le fichier VirtualHost « parapheur.ssl », vérifier que Apache fonctionne et écoute bien sur le port HTTPS (443):
#root > /etc/init.d/apache2 force-reload
Le script de mises-à-jour des CRL (listes des certificats révoqués) doit être appelé régulièrement (via CRON par exemple), voir annexe à ce propos.
OPTION : Cas des certificats pour Web-Services : Il faut constituer 2 magasins de certificat pour l’application cliente qui se connectera aux Web-Services i-Parapheur:
- un keyStore (contenant le certificat du client et sa partie privée), pour s’authentifier,
- un trustStore (contenant le certificat X509 du serveur) pour reconnaître le serveur.
Des outils tels que Porte-Cle (logiciel libre JAVA, version courante: 1.5) font cela très bien:
https://sourceforge.net/projects/portecle
Voir le manuel d’administration pour davantage d’informations concernant ce paramétrage.
Redirection automatique
Il s’agit de créer un fichier de redirection dans les répertoires déclarés comme « DocumentRoot » :
#root > cd /var/www; tar xzf /opt/_install/confs/var-www.tar.gz
#root > vim /var/www/parapheur/index.html
Adapter le fichier /var/www/parapheur/index.html (changer l’URL) :
Puis faire de même pour /var/www/parapheurssl/index.html (en redirigeant vers https…) :
#root > vim /var/www/parapheurssl/index.html
Adapter le fichier /var/www/parapheurssl/index.html (changer l’URL) :
NB : si usage de l’IHM v4, changer les fins des URLs en remplaçant /alfresco par /iparapheur !
Remplacer Apache2 par Nginx ?
Il est possible d’utiliser Nginx à la place de Apache2, un exemple de fichier de configuration est disponible dans le paquet « confs.tar.gz ».
Nginx permettra notamment le déploiement pour l’accueil de connexions tablettes.
Composants i-Parapheur
Initialisation de la base de données de l’entrepôt
Tuning de MySQL : éditer le fichier /etc/mysql/my.cnf , et changer la variable suivante :
max_connections = 360
Cela peut également être fait au run-time dans le client mySQL avec la commande :
set global max_connections=360;
La base de données va être initialisée avec la commande suivante :
ATTENTION : mot de passe root défini à l’installation !
#root > mysql -u root -psupersecret < /opt/_install/confs/mysql-init.sql
NB : pour information, le contenu du fichier SQL (mysql-init.sql) :
create database alfresco default character set utf8 collate utf8_bin;
grant all on alfresco.* to 'alfresco'@'localhost' identified by 'alfresco' with grant option;
grant all on alfresco.* to 'alfresco'@'localhost.localdomain' identified by 'alfresco' with grant option;
Installation de Alfresco 3.4.c Community Edition
Alfresco est téléchargeable sur http://sourceforge.net/projects/alfresco/files/ .
Dans ce manuel, l’installation est effectuée dans le répertoire /opt/iParapheur .
On procède ici à l’installation en mode console, ce qui autorise des déploiements en télé-intervention.
Ci-après un exemple avec le package d’installation Alfresco déposé dans /opt/_install :
#root > mkdir -p /opt/iParapheur; cd /opt/iParapheur
#root > chmod +x /opt/_install/alfresco-community-3.4.c-installer-linux-x64.bin
#root > /opt/_install/alfresco-community-3.4.c-installer-linux-x64.bin --mode text
Language Selection
Please select the installation language
[1] English - English
[2] French - Français
[3] Spanish - Español
[4] Italian - Italiano
[5] German - Deutsch
[6] Japanese - 日本語
Please choose an option [1] : 2
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Bienvenue dans l'assistant d'installation de Alfresco Community
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Sélectionnez des composants que vous désirez installer, décochez ceux que vous
ne voulez pas installer. Cliquez sur Suivant pour continuer.
MySQL : Y (Cannot be edited)
Java : Y (Cannot be edited)
Alfresco : Y (Cannot be edited)
SharePoint [Y/n] :n
Records Management [Y/n] :n
Web Quick Start [Y/n] :n
WCM Alfresco [Y/n] :n
Quickr Connector Support [Y/n] :n
OpenOffice [Y/n] :Y
Est-ce que la sélection est correcte ? [Y/n]: Y
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Type d'installation
[1] Facile - Installe les serveurs avec la configuration par défaut
[2] Avancé - Configure les ports du serveur et les propriétés de service
Merci de choisi une option. [1] : 2
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Dossier d'installation
Please choose a folder to install Alfresco Community.
Sélectionner un dossier [/opt/alfresco-3.4.c]: /opt/iParapheur
Répertoire pour les traces applicatives : fichier nommé /var/log/alfresco/alfresco.log
#root > mkdir -p /var/log/alfresco/tomcat/logs ; mkdir -p /var/lib/alfresco/tmp
#root > rm -rf /opt/iParapheur/tomcat/logs
#root > ln -s /var/log/alfresco/tomcat/logs /opt/iParapheur/tomcat/logs
Permettre l’usage de Ghostscript par le WAR (exemple de localisation sur Ubuntu 12.04 LTS) :
#root > ln -s /usr/lib/libgs.so.9 /opt/iParapheur/common/lib/libgs.so
NB : si RedHat 6 :
ln -s /usr/lib64/libgs.so.8 /opt/iParapheur/common/lib/libgs.so
Fichier de configuration ‘alfresco-global.properties’
Ajouter les éléments de paramétrage i-Parapheur dans le fichier alfreso-global.properties :
#root > cd /opt/iParapheur/tomcat/shared/classes
#root > cat /opt/_install/confs/ADD-to_alfresco-global.properties >>alfresco-global.properties
Localisation de l’entrepôt (configuration de la base de données, emplacement de l’entrepôt):
#root > vi /opt/iParapheur/tomcat/shared/classes/alfresco-global.properties
Y vérifier les paramètres pour le stockage, la base de données, les divers chemins d’accès :
6 dir.root=/opt/iParapheur/alf_data
10 ### database connection properties
11 db.driver=org.gjt.mm.mysql.Driver
12 db.username=alfresco
13 db.password=alfresco
14 db.name=alfresco
15 db.url=jdbc:mysql://localhost/alfresco
18 ftp.enabled=false
32 ### External executable locations
33 ooo.exe=/opt/iParapheur/openoffice/program/soffice.bin
34 ooo.enabled=false
35 img.root=/opt/iParapheur/common
36 img.dyn=${img.root}/lib
37 img.exe=${img.root}/bin/convert
38 swf.exe=/opt/iParapheur/common/bin/pdf2swf
39 jodconverter.enabled=true
40 jodconverter.officeHome=/opt/iParapheur/openoffice
41 jodconverter.portNumbers=8101
Et en particulier les lignes suivantes dédiées à i-Parapheur :
48 # Default properties used in i-parapheur
49 #-------------
50 db.pool.initial=100
51 db.pool.max=350
52 audit.enabled=true
55 # Renseigner l'url de base pour l'applet de signature (v3 only)
56 parapheur.signature.applet.url=http://iparapheur.ma-collectivite.fr/alfresco
57 ## Modeles d'email : emetteur par defaut, et URL de base (sans http://)
58 [email protected]
59 parapheur.mail.baseUrl=iparapheur.ma-collectivite.fr/iparapheur
60 # Modeles d'email : prefixe dans l'objet, par exemple [i-Parapheur]
61 parapheur.mail.objet.prefixe=[i-Parapheur]
62 parapheur.mail.targetVersion=4
63 ## Proprietes pour generation PDF archive/impression
64 parapheur.archive.ttfVerdana.location=/opt/iParapheur/verdanai.ttf
65 parapheur.archive.iccprofile.location=/opt/iParapheur/srgb.profile
66 parapheur.archive.tamponActes.prefixe="Acquitté en PREFECTURE le:"
67 ## parapheur.habillage (adullact|blex)
68 parapheur.habillage=adullact
69 ## parapheur.ihm.document.uploadMaxSize :
70 # - 0 : taille illimitee (valeur par defaut)
71 # - n : taille limitee a 'n' (en mega-octets)
72 parapheur.ihm.document.uploadMaxSize=0
73 ## (EXPERIMENTAL) Traitement par lot non bloquant (true|false)
74 parapheur.jobs.thread.enabled=false
Fichier de configuration TOMCAT ‘server.xml’
Par défaut le connecteur AJP13 est activé mais mal configuré.
#root > vi /opt/iParapheur/tomcat/conf/server.xml (activer connecteur AJP13:8009)
Ligne 90 : la ligne sur le connecteur AJP13, et vérifier que son paramétrage est de la forme :
Script de lancement/arrêt TOMCAT : ‘ctl.sh’ (tuning JVM)
Le script installé est nécessaire mais son contenu est insuffisant pour les besoins i-parapheur.
#root > vi /opt/iParapheur/tomcat/scripts/ctl.sh (vérifier les chemins)
Recommandations pour le script « ctl.sh », à adapter selon le contexte (chemins d’accès, etc.) :
2 export LANG=fr_FR.UTF-8
6 CATALINA_PID=/var/run/parapheur.pid
13 export JAVA_OPTS='-XX:MaxPermSize=512m -Xms1536m -Xmx1536m -Xss1024k -XX:PermSize=64m -XX:NewSize=256m
-Dfile.encoding=UTF-8 -Djava.io.tmpdir=/var/lib/alfresco/tmp -Dalfresco.home=/opt/iParapheur
-Dcom.sun.management.jmxremote'
26 export JAVA_OPTS='-XX:MaxPermSize=512m -Xms1536m -Xmx1536m -Xss1024k -XX:PermSize=64m -XX:NewSize=256m
-Dfile.encoding=UTF-8 -Djava.io.tmpdir=/var/lib/alfresco/tmp -Dalfresco.home=/opt/iParapheur
-Dcom.sun.management.jmxremote'
32 $TOMCAT_BINDIR/shutdown.sh 9 -force
Personnalisation du fichier WAR de alfresco
Injection du fichier AMP (Alfresco Module Package) de i-Parapheur, dans le WAR Alfresco de base :
#root > cp /opt/_install/iParapheur-vX.Y.Z/iParapheur-vX.Y.Z_nnnnn.amp /opt/iParapheur/amps/
#root > cd /opt/iParapheur
#root > bin/apply_amps.sh
This script will apply all the AMPs in amps and amps-share to the alfresco.war and share.war files
in tomcat/webapps
Press control-c to stop this script . . .
Press any other key to continue . . .
Module 'parapheur' installed in 'tomcat/webapps/alfresco.war'
- Title: i-Parapheur ADULLACT
- Version: 3.4
- Install Date: Mon Dec 24 15:55:34 CET 2012
- Desription: Parapheur electronique ADULLACT
Dépaquetage du fichier WAR résultant dans le sous-répertoire ‘alfresco’, pour sa configuration :
#root > cd /opt/iParapheur/tomcat/webapps ; mkdir alfresco ; chmod 755 alfresco ; cd alfresco
#root > /opt/iParapheur/java/bin/jar -xf ../alfresco.war
#root > rm -f WEB-INF/lib/bcprov-jdk15* WEB-INF/lib/bcmail-jdk15*
#root > rm -f WEB-INF/lib/asm-3.1.jar WEB-INF/lib/cglib-2.2.jar
#root > rm -f WEB-INF/lib/geronimo-servlet_2.4_spec-1.1.1.jar WEB-INF/lib/servlet-api-2.4.jar
Désactivation de la web-app inutile ‘share’, externalisation de log4j.properties :
#root > cd /opt/iParapheur/tomcat/webapps ; mv share.war share.war.inutile
#root > cd /opt/iParapheur/tomcat/webapps/alfresco/WEB-INF/classes
#root > cp log4j.properties ../../../../shared/classes/alfresco/extension/custom-log4j.properties
Renseigner l’emplacement du fichier de log applicative :
#root > vi /opt/iParapheur/tomcat/shared/classes/alfresco/extension/custom-log4j.properties
16 log4j.appender.File.File=/var/log/alfresco/alfresco.log
Connecteur Web-Services
Configuration des URLs du fichier WSDL (remplacement des noms FQDN par défaut pour les connecteurs Web-Services) :
#root > cd /opt/iParapheur ; cp /opt/_install/confs/custom-wsdl.sh .
#root > ./custom-wsdl.sh iparapheur.ma-collectivite.fr
Ce script va remplacer les URLs des services par celle donnée en paramètre, en fin de fichier:
Pour information : contenu du script
#!/bin/bash
sedpattern="s/iparapheur.demonstrations.adullact.org/$1/g"
sed -i $sedpattern tomcat/webapps/alfresco/WEB-INF/wsdl/iparapheur.wsdl
Déploiement du WAR « iparapheur »
Le fichier WAR d’iParapheur se trouve dans ce package ainsi que le fichier amp et les scripts de configuration :
Copie du fichier WAR de iparapheur dans le répertoire des webapps de TOMCAT :
#root > cd /opt/_install/iParapheur-vX.Y.Z
#root > cp *.war /opt/iParapheur/tomcat/webapps/iparapheur.war
#root > cp deployWarIparapheur.sh /opt/iParapheur/
#root > cd /opt/iParapheur/tomcat/webapps ; mkdir iparapheur
#root > cd /opt/iParapheur
#root > ./deployWarIparapheur.sh
Fichier de configuration ‘iparapheur-global.properties’
Paramétrage, à partir d’un fichier d’exemple fourni :
#root > cd /opt/iParapheur/tomcat/shared/classes
#root > cp /opt/_install/confs/iparapheur-global.properties .
#root > vi /opt/iParapheur/tomcat/shared/classes/iparapheur-global.properties
Y adapter notamment le paramètre pour l’accès à LiberSign (attention, l’URL se termine en alfresco) :
8 parapheur.signature.applet.url=http://iparapheur.ma-collectivite.fr/alfresco
Exemple de fichier :
##################################################################
# Parametrage i-Parapheur (webapp iparapheur.war) #
# #
# copyleft 2013 - Adullact-Projet #
##################################################################
#################################
# URL de localisation de l'applet de signature LiberSign (se termine par alfresco car pointe sur v3)
parapheur.signature.applet.url=http://iparapheur.ma-collectivite.fr/alfresco
#################################
## Preferences utilisateur ##
# Affichage des onglets dans les options
parapheur.ihm.options.password.show=true
parapheur.ihm.options.theme.show=true
parapheur.ihm.options.signature.show=true
parapheur.ihm.options.langue.show=true
#################################
## Bas de page ##
# URL du lien bas de page
parapheur.ihm.contact.support.url=http://www.adullact-projet.coop/
# Texte du lien bas de page
parapheur.ihm.contact.support.text=Support technique
#################################
## Themes de l'interface ##
# Dossier des themes
parapheur.ihm.themes.directory=/var/www/themes
# Themes disponibles
parapheur.ihm.themes.disponibles=tenant1/rose,default
#################################
## Visibilite des dossiers ##
# Visibilité par défaut de la collectivite principale (racine)
parapheur.ihm.creerdossier.visibilite.defaut=group
# Visibilité par défaut par tenant
parapheur.ihm.creerdossier.visibilite.defaut.tenant={"tenant1":"confidentiel"}
# Visibilités disponibles à la création (public|group|confidentiel)
parapheur.ihm.creerdossier.visibilite.valeurs=public,group,confidentiel
Divers réglages finaux
La génération des calques pour les visuels d’impression nécessite les fichiers suivants :
root > cd /opt/_install/confs ; cp srgb.profile verdanai.ttf /opt/iParapheur/
NB : certains messages sont mal traduits par Alfresco. Leur correction peut se faire en éditant le fichier de langue FR :
root > vim tomcat/webapps/alfresco/WEB-INF/classes/alfresco/messages/webclient_fr_FR.properties (ligne 852)
Un réglage sur le script de contrôle alfresco.sh (mentions ulimit à ajouter en début du fichier) :
#!/bin/sh
ulimit -Hn 16384
ulimit -Sn 16384
# Disabling SELinux if enabled
if [ -f "/usr/sbin/getenforce" ] && [ `id -u` = 0 ] ; then
selinux_status=`/usr/sbin/getenforce`
/usr/sbin/setenforce 0 2> /dev/null
fi
INSTALLDIR=/opt/iParapheur
cd $INSTALLDIR
Activer le script de contrôle pour OpenOffice.org :
root > cd /opt/iParapheur/openoffice/scripts ; mv openofficectl.sh ctl.sh
OPTION Configuration en mode multi-collectivité :
Si nécessaire, l’application i-Parapheur peut fonctionner en « colocation » de collectivité, grâce à l’activation du mode « multi-tenancy » d’Alfresco.
L’activation de ce mode s’effectue avec les manipulations suivantes :
#root > cd /opt/iParapheur/tomcat/shared/classes/alfresco/extension/mt #root > mv mt-context.xml.sample mt-context.xml
#root > mvmt-admin-context.xml.samplemt-admin-context.xml
#root > mvmt-contentstore-context.xml.samplemt-contentstore-context.xml
Se référer au manuel d’administration (i-Parapheur_v3.2_Admin-multiCollectivite_v1.2.pdf) disponible sur le magasin ADULLACT pour l’exploitation de cette fonctionnalité.
La colocation (multi-tenancy) est limitée arbitrairement à 99 collectivités maximum par l’engineering Alfresco. Il est possible d’outrepasser cette limitation en modifiant certains paramètres internes (en particulier la gestion de la taille du cache).
En cas de dépassement de ce maximum, il est recommandé de mettre en place plusieurs serveurs, et répartir les collectivités « locataires » sur ces différentes instances.
Validation de l’installation
Après démarrage de l’application (voir le chapitre suivant pour la commande de démarrage) ou reboot du serveur, les manipulations suivantes permettent de s’assurer que l’installation s’est bien déroulée.
NB : un premier démarrage peut prendre jusqu’à 5 minutes selon la puissance des ressources allouées au serveur. Les démarrages suivants sont plus rapides (de 45 à 100 secondes).
Rappel : La vérification du bon démarrage de Tomcat peut se faire en examinant les traces ‘catalina’ :
#root > tail -f /var/log/alfresco/tomcat/logs/catalina.out
Un serveur fonctionnel enregistre dans ces traces ce message « INFO: Server startup in xxxx ms ».
Si ce message n’apparaît pas, contrôler l’activité CPU du processus Java de TOMCAT (par exemple avec la commande ‘top’) : en effet, le serveur peut ne pas avoir fini de démarrer.
Dans le cas contraire (activité nulle), les traces ‘catalina’ sont assez verbeuses, et font rapidement état du problème de démarrage.
OPTION Redémarrage du serveur :
Pour vérifier que les services sont bien actifs: reboot puis login, ‘sudo -s’. Chacune des commandes suivantes doit donner un résultat.
#root > ps aux | grep -i office
#root > ps aux | grep -i tomcat
#root > ps aux | grep -i mysql
Contrôle des services réseau
La commande suivante liste les ports réseau ouverts en écoute (prêts à servir) :
netstat -antup | grep LISTEN
Les lignes intéressantes, respectivement pour Apache, MySQL, OpenOffice.org, et i-Parapheur :
tcp 0 0 0.0.0.0:80 0.0.0.0:* LISTEN 1599/apache2
tcp 0 0 0.0.0.0:443 0.0.0.0:* LISTEN 1599/apache2
tcp 0 0 127.0.0.1:3306 0.0.0.0:* LISTEN 1353/mysqld
tcp 0 0 127.0.0.1:8100 0.0.0.0:* LISTEN 5715/soffice.bin
tcp6 0 0 127.0.0.1:50500 :::* LISTEN 5627/java
tcp6 0 0 127.0.0.1:8005 :::* LISTEN 5627/java
tcp6 0 0 :::8009 :::* LISTEN 5627/java
tcp6 0 0 :::50508 :::* LISTEN 5627/java
tcp6 0 0 :::35183 :::* LISTEN 5627/java
tcp6 0 0 :::8080 :::* LISTEN 5627/java
tcp6 0 0 :::35800 :::* LISTEN 5627/java
Contrôle des accès Web HTTP et HTTPS
Pré-requis : un navigateur Web sur un poste avec accès au serveur.
Dans un navigateur web, les URLs du tableau ci-après (personnaliser le nom de domaine selon le nom du serveur) doivent donner un écran de connexion :
N° | URL | Partie testée |
---|---|---|
1 | http://iparapheur.ma-collectivite.fr:8080/alfresco… | Serveur TOMCAT Java en direct.
Si KO, revoir l’installation. Si OK : en profiter pour se connecter en admin , y définir son certificat de connexion. |
2 | http://iparapheur.ma-collectivite.fr/iparapheur/ | Si N° 1 OK, pour valider l’installation du serveur Apache. |
3 | http://iparapheur.ma-collectivite.fr | Si N° 2 OK, pour valider la redirection HTTP |
Si les tests précédents sont concluants, tester l’accès HTTPS sur:https://iparapheur.ma-collectivite.fr
Pré-requis : un certificat client exploitable par le navigateur.
- Le navigateur doit réclamer un certificat client
- Sur sélection puis validation d’un certificat client, le message d’erreur suivant apparaît(« java.lang.RuntimeException: Utilisateur inconnu ») : c’est parfaitement logique et normal.
- Sur sélection du certificat client associé au compte’admin’ (voir test 1), la connexion doit permettre l’accès à la Console d’administration.
Remarque : si erreur 117 en HTTPS, mettre à jour les condensats des AC d’apache :
root > cd /etc/apache2/ssl
root > c_rehash /etc/apache2/ssl/validca
Penser également alors à inclure cette commande dans le script recup_crl.sh (voir tâches planifiées).
NB : Si installation sur RHEL/CentOS, la commande « c_rehash » est fourni par le composant logiciel optionnel « openssl-perl » :
root > yum install openssl-perl
( yum install ./perl-WWW-Curl-4.09-3.el6.x86_64.rpm ./openssl-perl-1.0.0-27.el6_4.2.x86_64.rpm )
Concernant la partie Web-Services, se référer au manuel administrateur pour la constitution des keystores à utiliser dans le logiciel métier (client du i-Parapheur).
Guide rapide d’Exploitation
Commandes de lancement /arrêt de i-Parapheur
#root > /etc/init.d/alfresco start
NB : La toute première fois, le lancement va initialiser les données i-Parapheur dans la base de données et le système de fichiers (alf_data) ; ce processus est relativement long (2 à 5 minutes).
La vérification du bon démarrage de Tomcat peut se faire en examinant les traces ‘catalina’ :
#root > tail -f /var/log/alfresco/tomcat/logs/catalina.out
Un serveur fonctionnel enregistre dans les traces ce message « INFO: Server startup in xxxx ms ».
Arrêt de iParapheur :
#root > /etc/init.d/alfresco stop
Cas de serveur SMTP externe
Pour configurer les notifications par mail auprès des acteurs de i-Parapheur.
#root > vi /opt/iParapheur/tomcat/shared/classes/alfresco-global.properties
Les paramètres de connexion SMTP suivants sont disponibles (ajouter en fin de fichier) :
#
# Outbound Email Configuration
#------------------------------
mail.host=monSMTPjoliQuiMarche.ma-collectivite.fr
mail.port=25
mail.username=anonymous
mail.password=
mail.encoding=UTF-8
[email protected]
mail.smtp.auth=false
Exemple de mise en place de procédure de sauvegardes
Copie du script de sauvegarde dans le répertoire d’installation :
#root > cp /opt/_install/confs/backup_parapheur.sh /opt/iParapheur/
#root > cp /opt/_install/confs/send_backup.sh /opt/iParapheur/bin
#root > chmod +x /opt/iParapheur/bin/send_backup.sh /opt/iParapheur/backup_parapheur.sh
Pour information, contenu du fichier backup_parapheur.sh :
#!/bin/bash
BACKUPDIR=/opt/iParapheur/backups
DATE=`date +%d-%m-%Y`
DOCUMENTROOT=/opt/iParapheur
BINDIR=$DOCUMENTROOT/bin
DBS="alfresco"
HOSTNAME=`hostname`
DIR=$BACKUPDIR/$DATE
ROTATEDIR=$BACKUPDIR
HER=`pwd`
### test avant lancement du script
if [ ! -d $DOCUMENTROOT ]; then
echo "**$0: DocumentRoot invalid:$DOCUMENTROOT"
exit 1
fi
#create backup directory
if [ ! -d $DIR ]
then
mkdir -p $DIR
fi
#save repository
cd $DOCUMENTROOT
tar -czf $DIR/parapheur.tar.gz alf_data
#save metadata
for b in $DBS
do
mysqldump --add-locks --add-drop-table -u"root" -pPASSWORD $b 1> $DIR/$b.sql
done
#save backup cmd
cd $HER
cp -a $0 $DIR
#rotate des archives
i=`ls -c1 $ROTATEDIR|wc -l`
NBR=4
cd $ROTATEDIR
if [ $i -gt $NBR ]; then
while [ $i -ne $NBR ]; do
rm -rf `ls -rt|head -1`
i=`ls -c1 $ROTATEDIR|wc -l`
done
fi
#Envoi de la sauvegarde sur le serveur ftp
#$BINDIR/send_backup.sh $DATE
Régler le CRON afin que la procédure s’exécute tous les jours à 3h05 du matin (dans cet exemple) :
#root > crontab -e
Les backups DOIVENT se faire à froid (application arrêtée), voir l’exemple de lignes pour CRON :
MAILTO=''
0 0 * * * /etc/apache2/ssl/recup_crl.sh /etc/apache2/ssl && /etc/init.d/apache2 restart >/dev/null 2>&1
5 3 * * * /etc/init.d/alfresco stop >/dev/null 2>&1
15 3 * * * /usr/bin/killall -q -e -g -s 9 /opt/iParapheur/java/bin/java >/dev/null 2>&1
16 3 * * * /usr/bin/killall -q -e -s 9 /opt/iParapheur/openoffice/program/soffice.bin >/dev/null 2>&1
18 3 * * * /bin/rm -f /var/run/parapheur.pid >/dev/null 2>&1
19 3 * * * /usr/sbin/ntpdate ntp.ubuntu.com pool.ntp.org >/dev/null 2>&1
20 3 * * * /opt/iParapheur/backup_parapheur.sh >/dev/null 2>&1
45 3 * * * /etc/init.d/alfresco start >/dev/null 2>&1
Explication : La 1ère ligne met à jour les ACs et CRLs pour Apache ; puis arrêt de l’application. Enfin, une commande de mise à jour de l’heure système, et lancement du script de backup, avant redémarrage de l’application.
Enfin, éditer le fichier send_backup.sh pour régler les paramètres de serveur distant (FTP ou CIFS).
Procédure de restauration d’une sauvegarde
Le fichier alfresco-global.properties doit être modifié temporairement en positionnant le paramètre :
index.recovery.mode=FULL
Arrêter l’application i-Parapheur (voir procédure ci-dessus)
Exécuter le script restore_parapheur.sh dans le répertoire /opt/iParapheur/bin
Effacer le répertoire /opt/iParapheur/alf_data/lucene-indexes
Renommer /opt/iParapheur/alf_data/backup-lucene-indexes en /opt/iParapheur/alf_data/lucene-indexes
Relancer l’application
après démarrage, remettre le paramètre index.recovery.mode=AUTO
Pour information, contenu du script restore_parapheur.sh :
#!/bin/bash
BACKUPDIR=/opt/iParapheur/backups
DATE=$1
DOCUMENTROOT=/opt/iParapheur
DBS="alfresco"
HOSTNAME=`hostname`
DIR=$BACKUPDIR/$DATE
RESTORESQL=$BACKUPDIR/$DATE/restore.sql
ROTATEDIR=$BACKUPDIR
HER=`pwd`
### test avant lancement du script
if [ "$1" = "" ]; then
echo "**$0: Merci de spécifier la date de sauvegarde à restorer au format DD-MM-YYYY"
exit 1
fi
if [ ! -d $DIR ]; then
echo "**$0: Il n'y a aucune sauvegarde pour cette date : $DATE"
exit 1
fi
if [ ! -d $DOCUMENTROOT ]; then
echo "**$0: DocumentRoot invalide:$DOCUMENTROOT"
exit 1
fi
# Create a good sql script
echo "DROP DATABASE \`alfresco\` ;" > $RESTORESQL
echo "CREATE DATABASE \`alfresco\` ;" >> $RESTORESQL
echo "use \`alfresco\` ;" >> $RESTORESQL
cat $DIR/alfresco.sql >> $RESTORESQL
cd $DOCUMENTROOT
rm -rf alf_data
tar -xzf $DIR/parapheur.tar.gz alf_data
#restore database
mysql -u root < $RESTORESQL
clear
echo "La restauration s'est effectuée correctement, merci de redémarrer le parapheur : "
Monitoring du serveur
Il convient de surveiller le service, pourquoi pas avec des sondes de type Nagios sur :
- OpenOffice.org, TOMCAT, Apache/Nginx,
- consommation CPU
- consommation RAM
- occupation disque.
Exemple pour la consommation disque (si absence de sonde) avec un script BASH très simple nommé /opt/iParapheur/espace.sh :
#!/bin/bash
# version 1.0.0 par Stephane VAST
df -h | mail -s "Espace disque sur mon serveur maCollectivite.fr" [email protected]
Ce script appelé régulièrement par CRON :
0 8 * * 1 /opt/iParapheur/espace.sh >/dev/null 2>&1
Procédure de mise à jour mineure
Cela ne concerne QUE des mises-à-jour dites « mineures » (3.2.x à 3.2.y par exemple). Elle ne fonctionne pas pour une mise à jour depuis une version 3.0.xx (car changement de socle Alfresco).
Dans le package tar.gz sont livrés un script iparaph-updateAMP.sh , et un guide LISEZ-MOI.txt :
#root > cp /opt/_install/confs/iparaph-updateAMP.sh /opt/iParapheur
Lire le fichier LISEZ-MOI.txt : il précise les opérations à effectuer, selon l’écart de versions de produit.
NB : pour l’exécution du script custom-wsdl.sh (voir § 4.6 sur le connecteur Web-Services) :
#root > cd /opt/iParapheur
#root > ./custom-wsdl.sh iparapheur.ma-collectivite.fr
Cas de mise à jour depuis Ubuntu 10.04 : le passage vers Ubuntu 12.04 se fait assez simplement :
#root > apt-get update
#root > apt-get dist-upgrade # éventuel reboot si mise-à-jour du kernel
#root > apt-get install update-manager-core
#root > vi /etc/update-manager/release-upgrades # positionner : Prompt=lts
#root > do-release-upgrade
NB : depuis la version 3.4 et plus, il y a une dépendance sur GhostScript, qui se résout ainsi :
– installer les paquets GhostScript et gsfonts (voir au début du manuel d’install )
– le lien symbolique vers common/lib/libgs.so :
#root > ln -s /usr/lib/libgs.so.9 /opt/iParapheur/common/lib/libgs.so
Mises-à-jour des CRL
Opération nécessaire pour avoir un contrôle efficace de validité des certificats, les listes des certificats révoqués par AC peuvent être mises-à-jour toutes les nuits (voir CRON aux chapitres précédents). Voici le script /etc/apache2/ssl/recup_crl.sh
#!/bin/bash
# version 1.0.1 par Stephane VAST
DIR=$1
cd $DIR
if [ -e $DIR/validca.tgz ]
then
rm $DIR/validca.tgz
fi
if [ -e /tmp/validca.md5sum ]
then
rm /tmp/validca.md5sum
fi
/usr/bin/wget --no-proxy -q http://crl.adullact.org/validca.tgz
cd /tmp
/usr/bin/wget --no-proxy -q http://crl.adullact.org/validca.md5sum
MD5=`md5sum $DIR/validca.tgz | awk '{print $1}'`
echo $MD5
if [ -z "$MD5" ]
then
echo "CALCUL MD5 IMPOSSIBLE: TELECHARGEMENT AVORTE?";
exit;
fi
if [ $MD5 != `cat /tmp/validca.md5sum` ]
then
echo "PROBLEME MD5SUM DIFFERENT DE CELUI TELECHARGE";
exit;
fi
if [ -e $DIR/validca-old ]
then
rm -r $DIR/validca-old
fi
if [ -e $DIR/validca ]
then
mv $DIR/validca $DIR/validca-old
fi
cd $DIR
tar -xzf $DIR/validca.tgz
Paramétrage avancé du connecteur Web-Services
L’accès à aux Web-services i-Parapheur est doublement sécurisé par MCA + Basic: certificat client d’authentification HTTPS, et identifiant login/password vers i-Parapheur. Il est aussi possible de faire automatiquement intervenir le champ ‘CN’ du certificat dans le login présenté à i-Parapheur : le compte créé dans i-Parapheur devra alors être de la forme ‘.’. La syntaxe du séparateur (ici le caractère ‘.’ par défaut) est également paramétrable.
Ce réglage se fait dans le fichier :
/opt/iParapheur/tomcat/webapps/alfresco/WEB-INF/applicationAcegi.xml
Aller à la section bean id= »x509AndBasicAuthenticationProcessingFilter » et adapter la valeur de la propriété dealWithCertificate selon le comportement souhaité: false ou true.
NOTE : L’utilisation des WebServices iParapheur a été expérimentée avec succès avec des clients JAVA (avec JAX-WS), C++ (avec gSOAP), PHP (avec WSO2 wsf-php), C#, NatStar. Dans le cas de wsf-PHP, il y a un bug de double requête dans la librairie AXIS2/C HTTP embarquée. Le correctif est disponible sous forme de patch à l’URL suivante :
https://issues.apache.org/jira/browse/AXIS2C-1244
Installation des « swftools » sur RedHat, Debian, Ubuntu10.10
Inutile depuis l’installeur alfresco 3.4 : le composant logiciel « swftools » (qui fournit l’utilitaire pdf2swf ) n’est pas disponible dans les dépôts RedHat, ni Ubuntu 10.10 (swftools is broken by design, that’s why it’s not in the repositories anymore), l’installation se fait par compilation des sources…Pour Suse SLES 10 : https://tpeelen.wordpress.com/2010/04/27/installin…
Pour RedHat :
#root > yum install zlib-devel libjpeg-devel giflib-devel freetype-devel gcc gcc-c++ make
Pour Ubuntu 10.10 :
#root > apt-get install build-essential libgif-dev libjpeg-dev zlib1g-dev libfreetype6-dev
Puis dérouler les commandes :
#root > wget http://www.swftools.org/swftools-0.9.1.tar.gz
#root > tar xzf swftools-0.9.1.tar.gz
#root > cd swftools-0.9.1
#root > ./configure --disable-lame
#root > make && make install
L’outil exécutable « pdf2swf » est accessible dans /usr/local/bin , le chemin d’accès pour i-parapheur est à renseigner dans ‘alfresco-global.properties’. Éditer le fichier :
#root > vi /opt/iParapheur/tomcat/shared/classes/alfresco-global.properties
Dans la zone « External executable locations » (vers la ligne 32), localiser le paramètre ‘swf.exe’ (généralement ligne 38) et le positionner de la façon suivante :
32 ### External executable locations
33 ooo.exe=/opt/iParapheur/openoffice/program/soffice.bin
34 ooo.enabled=true
35 img.root=/opt/iParapheur/common
36 img.dyn=${img.root}/lib
37 img.exe=${img.root}/bin/convert
38 swf.exe=/usr/local/bin/pdf2swf
NB : une anomalie dans l’installeur Alfresco 3.4.c pour système GNU/Linux 32bits justifie d’installer le composant swftools de cette façon. Cette anomalie n’est pas présente sur l’installeur Alfresco pour GNU/Linux 64bits, recommandé.
Installation des Polices TTF standard Microsoft sur Red-Hat/CentOS…
Sans paquet RPM fournissant ces polices de caractère, télécharger et constituer ce paquet « à la main », avec une connexion Internet opérationnelle ! Toujours en mode super-utilisateur, se placer dans le répertoire de travail, installer les pré-requis et télécharger le projet depuis le site SourceForge.net :
#root > mkdir -p /opt/_install/msttcorefonts && cd /opt/_install/msttcorefonts
#root > yum install wget cabextract rpm-build chkfontpath ttmkfdir
#root > wget http://corefonts.sourceforge.net/msttcorefonts-2.0-1.spec
Construction et installation du paquet RPM (exemple de chemin sur CentOS 5) :
#root > rpmbuild -ba msttcorefonts-2.0-1.spec
#root > rpm -ivh /usr/src/redhat/RPMS/noarch/msttcorefonts-2.0.1.noarch.rpm
#root > /sbin/service xfs reload
NB: CentOS6 : https://oimon.wordpress.com/2011/09/05/msttcorefon…
Pas de XFS à redémarrer. En cas de souci, voir le site du projet : http://corefonts.sourceforge.net/
Astuce : D’éventuelles fontes ‘particulières’ peuvent être définies en les copiant dans le répertoire :
/opt/iParapheur/openoffice/basis3.2/share/fonts/truetype/ (adapter selon contexte d'installation)
D’une manière générale, ajouter des polices au système suffit avec :
#root > mkdir -p /usr/share/fonts/truetype/mesjoliesfontes
#root > cp /tmp/fonts/*.ttf /usr/share/fonts/truetype/mesjoliesfontes/
#root > fc-cache -f -v
Pour les polices Office2007 (Calibri,…) :
http://www.oooninja.com/2008/01/calibri-linux-vista-fonts-download.html
Service OpenOffice.org en écoute sur un port particulier
Lorsque l’on choisit un port différent du port par défaut (8100), Alfresco n’honore pas cette configuration. Il faut modifier la définition du bean suivante (dans tomcat/webapps/alfresco) :
WEB-INF/classes/alfresco/subsystems/OOoDirect/default/openoffice-transform-context.xml
Remplacer le service OpenOffice.org par LibreOffice 3.6 ou 4.0
Le bundle « alfresco 3.4.c » livre par défaut une version assez ancienne d’OOo, qui fonctionne bien pour les opérations courantes (HTML, ODT,…). LibreOffice offre de meilleurs filtres pour gérer certains formats de fichier fermés (.DOC .DOCX et autres).
Cas LibreOffice 4. 0 :
- Sur Ubuntu12.04, ajouter au préalable les packages libcups2 et libfontconfig1 .
apt-get install libcups2 libfontconfig1
- Télécharger la version sur http://download.documentfoundation.org/libreoffice…
wget http://download.documentfoundation.org/libreoffice/stable/4.0.5/deb/x86_64/LibreOffice_4.0.5_Linux_x86-64_deb.tar.gz
- NB : Après installation, l’application doit se lancer avec la commande (une seule ligne!) :
/opt/libreoffice4.0/program/soffice.bin --norestore --nodefault --nologo --headless --nofirststartwizard --accept="socket,host=localhost,port=8100;urp;StarOffice.ServiceManager"
- Les commandes suivantes permettent de remplacer OOo par LibreOffice :
cd /opt/iParapheur/openoffice/scripts
cp openoffice_ctl.sh ctl.sh
cd .. ; mv scripts ../ooscripts
rm -rf *
cp -a /opt/libreoffice4.0/* ./
mv ../ooscripts ./scripts
- Adapter le script de lancement /opt/iParapheur/openoffice/scripts/ctl.sh :
SOFFICE="$SOFFICEBIN --headless --nodefault --nofirststartwizard --nolockcheck --nologo --norestore --invisible --accept=socket,host=0,port=8100,tcpNoDelay=1;urp"
Couplage avec annuaire LDAP, ressources diverses
Voir la littérature sur Internet, notamment concernant le couplage « alfresco – ldap »:
http://wiki.alfresco.com/wiki/Alfresco_Authenticat…
http://wiki.alfresco.com/wiki/The_Synchronization_…
http://www.ochounos.com/#blog/6
D’autres sources d’inspiration pour faciliter l’installation :
http://howtoforge.org/how-to-install-alfresco-comm…
http://blog.mycroes.nl/2010/04/installing-alfresco…
Certificats électroniques, autorité de certification et openSSL
Le i-parapheur s’appuie fortement sur l’usage de certificats électroniques pour sécuriser les communications, produire des signatures numériques, etc. Ces certificats sont à acquérir auprès d’une autorité de certification présumée fiable pour l’exploitant. La force probante des connexions et des signatures est directement liée au niveau de confiance accordé aux certificats utilisés.
OPTION : Si nécessaire, création d’une A.C. (autorité de certification, locale et auto-signée) :
Éditer au préalable ‘/usr/lib/ssl/openssl.cnf‘ et décommenter au besoin la ligne 184 :
183 # This is typical in keyUsage for a client certificate.
184 keyUsage = nonRepudiation, digitalSignature, keyEncipherment
#root > cd /etc/apache2/ssl
#root > /usr/lib/ssl/misc/CA.pl -newca
Déclaration de cette A.C. dans la liste des A.C. connues du serveur Web :
#root > cd /etc/apache2/ssl/validca/
Supprimer l’ancien lien symbolique pointant vers cacert.pem :
#root > cp -f ../demoCA/cacert.pem .
#root > openssl x509 -hash -in cacert.pem -noout => exemple de résultat : 22f2539e
#root > ln -s cacert.pem 22f2539e.0
Création du certificat serveur pour Apache :
ATTENTION : Le Common Name correspond au ServerName de la machine !
cd /etc/apache2/ssl
/usr/lib/ssl/misc/CA.pl -newreq
openssl rsa -in newkey.pem -out iparapheur-serveur-priv-key.pem
/usr/lib/ssl/misc/CA.pl -sign
cp newcert.pem iparapheur-serveur.pem
Création de certificat client (pour tests et/ou accès Web-services) :
cd /etc/apache2/ssl
/usr/lib/ssl/misc/CA.pl -newreq
/usr/lib/ssl/misc/CA.pl -sign
/usr/lib/ssl/misc/CA.pl -pkcs12 'Certificat de Monsieur X'
Enfin, renommer le certificat obtenu :
mv newcert.p12 /le-chemin-qui-me-plait/le-nom-que-je-veux.p12
Astuce : Transformation d’un certificat PKCS12 en fichiers PEM X509 pour Apache
#root > openssl pkcs12 -in moncertificat.p12 -nocerts -nodes -out apache-priv-key.pem
#root > openssl pkcs12 -in moncertificat.p12 -clcerts -nokeys -out apache-cert.pem
Opération inverse: certificats de PEM → P12
#root > openssl pkcs12 -export -out moncertificat.p12 -inkey userkey.pem -in usercert.pem
Autres astuces: réencoder un certificat de PEM → DER, vérifier une signature PKCS#7 sur PDF (cas ACTES)
#root > openssl x509 -outform der -in moncertificat.pem -out moncertificat.der (PEM → DER)
#root > openssl smime -in masignature.p7s -inform PEM -binary -verify -content mondocument.pdf -CApath /chemin/du/validca -purpose any -out /dev/null
Module Apache « PROXY_AJP » indisponible
Se rabattre sur MOD_JK : http://wiki.apache.org/tomcat/FAQ/Connectors
apt-get install libapache2-mod-jk
Activer le module jk:
Attention, Il faut mod_JK V.1.2.x
/etc/init.d/apache2 force-reload
cp /tmp/FichiersCONF/apache/mod_jk.conf conf.d/
Sur une centos 4.4 ou RedHat :
Modifier le httpd.conf
Load jk_module modules/mod_jk.so
Placer le fichier mod_jk.so dans
/etc/httpd/modules/.
Problèmes de connexion Web-Services – CVE-2009-3555
Dans certains cas, l’interopérabilité entre application tierce et i-parapheur peut être compliquée lors del’établissement de session SSL/TLS : l’erreur retournée étant une exception du style SSLHandshakeException assorti d’un message « SSL renegociation failure ». A l’origine, la correction d’une vulnérabilité connue (CVE-2009-3555), et décrite aux l’URLs :
http://cve.mitre.org/cgi-bin/cvename.cgi?name=2009-3555
http://java.sun.com/javase/javaseforbusiness/docs/TLSReadme.html
Une solution consiste à ajouter l’assertion suivante dans les JAVA_OPTS au lancement :
-Dsun.security.ssl.allowUnsafeRenegotiation=true
A noter également qu’un correctif distribué depuis la version 2.2.14-5ubuntu8.2 de Apache et la version 0.9.8k-7ubuntu8.1 de la libssl (distribution Ubuntu) permet de contourner également ce problème en cas d’impossibilité de patcher le client. La libssl implémente (en backport de openssl 0.9.8m) la RFC5746 (Voir http://tools.ietf.org/html/rfc5746).
Pour Apache (>2.2.15), il est possible de forcer l’usage vers l’ancien comportement avec une nouvelle directive à inclure dans la définition du VirtualHost : SSLInsecureRenegotiation
Problème «Too many open files»
Cela peut arriver, des exceptions dans les traces Alfresco, et le serveur d’application qui plante avec ce message : « too many open files ». Cela peut arriver alors même que l’on croit avoir résolu les limites de fichier ouvrables par processus. Le wiki Alfresco a une réponse : http://wiki.alfresco.com/wiki/Too_many_open_files
Parfois, elle peut s’avérer inefficace, même avec les paramètres système suivants :
$ ulimit -n
4096
$ ulimit -Hn
65536
La longue ligne de commande suivante peut révéler la réelle source du problème (une seule ligne!) :
for pid in `pidof java`; do echo "$(< /proc/$pid/cmdline)"; egrep 'files|Limit' /proc/$pid/limits; echo "Currently open files: $(ls -1 /proc/$pid/fd | wc -l)"; echo; done
Exemple de résultat :
Limit Soft Limit Hard Limit Units
Max open files 1024 1024 files
Currently open files: 142
Une solution de contournement est donnée sur les forums: http://ubuntuforums.org/showthread.php?t=1583041 (confirmé par d’autres posts), dans le script /etc/init.d/alfresco ajouter en début de fichier les instructions suivantes :
ulimit -Hn 16384
ulimit -Sn 16384
Problème de ‘locale’
Problème de locale (ubuntu6.06) :
#root > vi /var/lib/locales/supported.d/local
Ne laisser que : fr_FR@euro ISO-8859-15 fr_FR ISO-8859-15